Comment intégrer les enfants dans la pratique journalistique ?

20 juillet 2023 • Déontologie et qualité, Formats et pratiques, Récent • by

Image d’illustration par Esi Grünhagen from Pixabay

Les enfants sont partie intégrante de la société et de l’actualité. Malgré ce constat, il n’existe que peu de repères sur la manière dont il faudrait les aborder et les représenter dans un contexte journalistique. Tour d’horizon des principaux manques, interrogations et potentialités qui gravitent autour de la question.

« Ma maîtresse Natacha*, elle est plus zèbre que ma maîtresse Diane*. C’est pour ça que je la préfère », m’a lancé Victoire*, cinq ans, lors de notre rencontre au Parc de Milan le 3 juillet 2022. Le terme « zèbre » a été introduit par la psychologue clinicienne Jeanne Siaud-Facchin pour qualifier les personnes à haut-potentiel intellectuel (HPI)[1][2]. Mais au-delà de la référence implicite, cette phrase a le mérite de mettre en contexte cette analyse. Dans le cadre de mon mémoire en journalisme réalisé à l’Université de Neuchâtel, j’ai travaillé pendant plusieurs mois à la création d’un documentaire sur le haut-potentiel chez les enfants. Je me suis alors naturellement penchée sur la littérature qui entoure la pratique journalistique aux contacts des plus jeunes.

Un premier constat s’est rapidement imposé : un manque de repères subsiste encore quand il s’agit de considérer la place des enfants dans le journalisme, malgré les (inter)relations importantes qui existent entre les médias, l’actualité et les enfants. Car s’il existe une littérature dédiée aux enfants dans le champ médiatique, celle-ci se focalise souvent sur des situations critiques, comme les enjeux liés aux violences, à la guerre, à l’exploitation sexuelle ou encore à la délinquance et la clandestinité.

Daniel Cornu, enseignant en éthique des médias, rappelle que « [l]’actualité qui constitue d’ordinaire l’information quotidienne des médias implique très souvent des enfants, sans que ceux[·celles]-ci apparaissent nécessairement au premier plan. » (2006, p. 5) AidanWhite, ancien Secrétaire général de la Fédération Internationale des Journalistes, quant à lui, suggère dans Child rights and the media. Putting children in the right: Guidelines for Journalists and Media Professionals – l’un des textes les plus complets portant sur le sujet – que « [l]a manière dont les médias dépeignent les plus jeunes a un impact très important sur la manière dont la société agit envers les enfants et l’enfance, ce qui affecte aussi la manière dont se comportent les adultes. » (2002, p. 3)

Si l’importance de la question n’est plus à défendre, encore faut-il repérer les manières de l’aborder et de la valoriser. En s’appuyant sur le droit, la déontologie, certains concepts issus des Journalism studies ou encore de la psychologie, cet article se propose de faire la synthèse des principaux résultats de mes recherches.

La « protection particulière » des enfants dans le droit et la déontologie

Commençons par poser un cadre : l’enfant, à l’image de l’adulte, dispose d’une panoplie de droits. Ceux-ci sont applicables aux êtres humains jusqu’à 18 ans (Association Protection de l’enfance Suisse, [en ligne]). À cet égard, l’un des textes les plus importants est la Convention de l’ONU relative aux droits de l’enfant (CDE), adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 20 novembre 1989. La Suisse, elle, a ratifié le texte au début de l’année 1997. D’emblée, le texte rappelle que, à la différence de l’adulte, l’enfant bénéficie d’une « protection spéciale », qui a d’ailleurs également été reconnue dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Le « droit d’exprimer librement son opinion sur toute question l’intéressant » (Art. 12, CDE) ou « droit d’être entendu » y tient alors une place prépondérante.

Afin de penser ce concept selon un angle journalistique, reprenons l’idée d’Aidan White, déjà cité en introduction. Selon lui, les médias ont non seulement le devoir de faire la promotion des droits de l’enfant, mais aussi de donner à voir la pluralité de leurs points de vue (2002, p. 3). Autrement dit, il s’agit pour les enfants de pouvoir « raconter leur propre histoire » (Daniel Cornu, 2006, p.5). Le·la journaliste devient ainsi le vecteur privilégié de ces récits.

Afin d’assumer ce devoir de manière à ce qu’il se révèle positif – pour les enfants, mais pas seulement – les journalistes doivent prendre conscience des enjeux particuliers qui sous-tendent la pratique journalistique au contact d’enfants. Si le droit s’applique évidemment à l’exercice du métier de professionnel·le des médias, c’est davantage du côté́ de la déontologie que l’on trouvera des directives et des conseils concrets.

À l’échelle internationale, les directives Child rights and the media. Putting children in the right: Guidelines for Journalists and Media Professionals sont une référence. Les premières lignes directrices ont d’abord été soumises à des organisations de journalistes de 70 pays en 1998, avant d’être officiellement adoptées en 2001. Comme le suggère Daniel Cornu, ces directives ont comblé une « lacune » et fait entrer « le respect des droits de l’enfant de plain-pied dans la déontologie journalistique » (Daniel Cornu, 2006, p. 14).  En Suisse, c’est du côté́ des directives relatives à la « Déclaration des devoirs et des droits du/de la journaliste », adoptée le 17 juin 1972 par l’Association de la presse suisse (APS) qu’il faut aller chercher :

Directive 7.3 – Enfants

Les enfants sont dignes d’une protection particulière, y compris les enfants de personnages publics ou de personnalités qui sont l’objet de l’attention des médias. Une retenue extrême est indiquée dans les enquêtes et les comptes rendus portant sur des actes violents et qui touchent des enfants (que ce soit comme victimes, comme auteurs[·rices] présumé́[·e]s ou comme témoins).

Les professionnel·le·s des médias doivent alors faire face à une importante tension qui se cristallise entre le « droit à l’information » et la « protection sociale qui s’exprime à travers la Convention des droits de l’enfant, les lois sur la protection de la personnalité́, la loi sur l’aide aux victimes, etc. » (François Dayer, p. 2). Notons que ces questions peuvent être (partiellement) résolues en optant pour l’anonymat des enfants, par exemple.

Si les textes déontologiques ont le mérite d’aiguiller les journalistes dans l’exercice de leur métier, ils ne s’adaptent néanmoins pas parfaitement aux réalités du terrain, soulève Daniel Cornu. Subsistent en effet d’importantes lacunes ou « nœuds éthiques », soit « des problèmes communs aux pratiques journalistiques, mais qui se révèlent particulièrement sensible à propos des enfants » (Daniel Cornu, 2006, p. 15).

Le professeur en souligne trois : la protection de l’anonymat, l’autorisation de prendre des images des enfants et celle de les interviewer ainsi que les relations du·de la journaliste avec l’enfant au cours d’un entretien. L’anonymat s’applique davantage à des affaires sensibles, notamment de délinquance et de justice. Pour ce qui concerne l’autorisation de prendre des images et d’interviewer, la notion phare est celle de « consentement éclairé ». Une personne – enfant comme adulte – a en effet droit à son image. Seule différence : si l’enfant ne peut attester de son consentement en raison de son âge par exemple, c’est à un·e adulte responsable, soit généralement au·à la représentante légal·e, qu’incombe cette responsabilité.

En partant du dernier nœud éthique, nous glissons sur la notion d’interview journalistique, exercice incontournable dans l’exercice du métier de professionel·le des médias et angle d’approche idéal pour questionner le rapport entre le·la journaliste et l’enfant.

L’interview, vecteur d’informations et d’émotions

Rappelons que l’interview est une pratique qui se prête à une très grande variété́ de contextes et de domaines de recherche. De l’entretien pour obtenir un travail à la psychothérapie en passant par l’entretien médical, l’interview est définie – en son sens le plus large – comme un moyen d’obtenir des informations (Edgar Morin, p. 59) ou comme une « conversation avec un but » (Jennifer Platt, p. 16).

Dans le monde médiatique, l’interview a encore d’autres enjeux, qui ont muté au gré de l’évolution du journalisme et de ses pratiques, comme le souligne le sociologue américain David L. Altheide (2002). Le tournant du journalisme numérique a par exemple impliqué un changement de paradigme : désormais, il s’agit moins de partager une information que d’avoir un impact sur son public. Les interviews font ainsi une plus large part à l’émotion, notamment pour captiver les (nouvelles) audiences.

Selon le journaliste canadien Claude Sauvé, l’interview radiophonique et télévisée – ou simplement filmée – est aussi « l’un des plus beaux exemples, dans un monde technologique, de retour aux sources du langage, c’est-à-dire à la parole » (2000, p. 14). En écho, l’analyse du sociologue français Edgar Morin : « l’interview se fonde évidemment sur la source la plus douteuse et la plus riche de toutes, la parole » (Edgar Morin, 1996, p. 59).

En plus de sa fonction « émotionnelle », l’interview a donc aussi trait à la (non) fiabilité des sources. Comme le rappelle Claude Sauvé, l’interview est en effet « devenue un outil indispensable pour confirmer une réalité́ ; elle devient, en quelque sorte, une preuve en chair et en os » (2002, p.13) soit un outil de vérification de l’information et de la véracité́ d’un témoignage. Mais alors, faudrait-il remettre en cause la parole des enfants ?

Le travail du pédopsychiatre Jean-Yves Hayez souligne que « d’indiscutables îlots de fiabilité́ commencent à se manifester vers 2 ans, peu après l’avènement du langage et de la formation des premières phrases simples », et que la connaissance de la réalité́ et la capacité d’en parler d’un·e enfant croit très rapidement (2007, p. 61). À 4 ans, « sa fiabilité́ peut être solidement installée » (2007, p. 62). Il n’en reste que, comme le préconise la déontologie, la vérification de l’information auprès d’autre(s) source(s) – par exemple les parents – est utile, voire nécessaire.

Le professeur insiste aussi largement sur tous les facteurs qui peuvent troubler la fiabilité́ de l’enfant : trop-plein d’émotions, problèmes cognitifs ou psychotiques ou encore attitude des autres (2007, p. 63). Selon les pressions qui s’exercent sur l’enfant, notamment par les parents, celui·celle-ci peut « modeler » voire cacher la vérité. Une attitude positive, en revanche, lui donnera envie d’être authentique et fiable (2007, p. 67). Difficile alors de ne pas évoquer les rapports de pouvoir qui s’exercent dans une communication entre l’adulte et l’enfant.

Que faire des rapports de pouvoir entre l’adulte et l’enfant ?

La relation intervieweur·euse-interviewé·e assiège en soi des rapports de pouvoir entre les personnes concernées. Ce rapport asymétrique et hiérarchique est d’ailleurs communément admis dans le champ journalistique (Claude Sauvé, 2000, p. 19). L’interview est basée sur une « convention », qui suppose que « l’intervieweur[·euse] dirige cet entretien » afin de soustraire des informations à la personne interviewée (Claude Sauvé, (2000, p. 98). À ce constat s’en ajoute un autre : dans les sociétés occidentales, les enfants bénéficient généralement d’un statut moins élevé que les adultes (Donna Eder et Laura Fingerson, 2002) ; dynamique qui se retrouve obligatoirement dans un entretien [3]. Il s’agit alors de conscientiser cette asymétrie, et de la minimiser. Donna Eder et Laura Fingerson proposent ainsi de penser une forme réciprocité dans l’échange entre l’adulte et l’enfant (2002).

Inspirées des études féministes, les « solutions » évoquées sont diverses. Il s’agit par exemple de réaliser les interviews dans un « contexte naturel », de favoriser l’interactivité ou encore d’accorder une attention particulière au vécu de l’autre, afin de lui permettre de se sentir compris·e. L’usage réciproque du pronom « tu » ou encore le fait de ne pas imposer son propre langage d’adulte (sensiblement différent à celui de l’enfant[4]) pourraient également figurer parmi ces propositions.

Finalement, c’est l’approche privilégiée par le·la journaliste qui peut déterminer le bon ou mauvais déroulé d’un entretien journalistique avec un·e enfant. La Coordination des ONG pour les droits de l’enfant (2012) atteste du fait que plusieurs approches sont possibles lorsque les journalistes – les médias – abordent les enfants : paternaliste (bienveillance), protectionniste, émancipatrice ou libérale (l’enfant est l’égal de l’adulte). Une approche protectionniste – ou infantilisante, justement – pourrait avoir comme conséquence de limiter, recadrer ou dévaloriser le témoignage des enfants. Au contraire, une démarche empathique et compréhensive pourrait mettre à l’aise et favoriser l’échange.

Ces quelques lignes peuvent être reliées au fait que la question des émotions – et de l’empathie, qui leur est liée[5] – a gagné en intérêt ces dernières années dans les Journalism studies (Karin Wahl-Jorgensen, 2020). Se détachant peu à peu de l’objectivité qui lui collait à la peau, le journalisme a intégré une dimension émotionnelle dans sa manière de faire. Plus qu’une simple considération, l’empathie – ou ce qui relève de l’émotionnel – est affiliée à une forme d’obligation : elle devrait être utilisée dans la démarche journalistique, qu’importe la définition qu’un·e journaliste lui prête (Janet D. Blank-Libret, 2007, p.2).

Ce constat prend encore davantage de force lorsqu’il s’agit de toucher à des sujets sensibles et profondément humains, comme l’est d’ailleurs celui du haut-potentiel [6]. Travailler avec des enfants implique d’ailleurs aussi de s’entretenir avec les adultes qui en sont en charge, généralement les parents. À nouveau, une certaine sensibilité est nécessaire afin de s’adapter à ce contexte sensiblement différent de celui d’une interview journalistique « classique ». Rappelons également que, dans la grande majorité partie des cas, sans l’accord et la collaboration des parents, il n’est pas possible d’entamer une démarche journalistique avec des enfants.

Valoriser la présence des enfants dans les médias

Finalement, s’il est évident que les plus jeunes peuvent faire partie et valoriser des productions médiatiques, il convient de considérer les aspects pratiques et éthiques qui accompagnent les démarches qui les concernent. À l’égard du droit et de la déontologie journalistique, l’enfant dispose ainsi d’une « protection particulière », qui devrait inciter le·la journaliste à faire preuve d’une grande prudence, mais aussi d’empathie et de sensibilité.

Les dynamiques qui peuvent s’exercer lors d’un entretien avec des enfants – que celles-ci se réfèrent aux pressions des adultes, au contexte ou encore au rapport asymétrique existant entre l’adulte et l’enfant – demandent en effet à être conscientisées et selon l’approche choisie par le·la journaliste, minimisées.

Afin de promouvoir les droits de l’enfant, rôle qui incombe aux médias et donc aux journalistes, il s’agit en effet de mettre en avant, voire de valoriser leur droit à être entendu·e et à raconter leur propre histoire, avec leurs mots et leur regard. En guise de conclusion, j’arguerais que, le fait de véritablement intégrer les enfants dans les productions journalistiques – notamment et surtout sur des sujets qui les concernent – offre de nouvelles et belles opportunités au journalisme. Car, si l’on en croit le dicton, la vérité sort de la bouche des enfants.


Notes

[1] Voir notamment Jeanne Siaud-Facchin, L’enfant surdoué : l’aider à grandir, l’aider à réussir, Paris : Éditions Odile Jacob, 2010 et Jeanne Siaud-Facchin, Trop intelligent pour être heureux ? L’adulte surdoué, Paris : Éditions Odile Jacob, 2010.

[2] On dit généralement qu’une personne est à haut-potentiel lorsque son QI est supérieur à 130. Cette définition est cependant très restrictive, et suppose qu’un simple test de QI suffise à identifier une personne HPI. Le HPI décrit un fonctionnement cérébral diffèrent, soit une pensée qui se structure différemment. S’il n’y a aucune personne à haut-potentiel qui soit identique, la curiosité́ et l’intensité́ du vécu font partie des caractéristiques qui se retrouvent chez beaucoup d’entre-elles, en plus des facultés cognitives élevées. Aujourd’hui, la théorie des intelligences multiples (introduite par Howard Gardner en 1993) permet de différencier plusieurs domaines de compétences – tels que l’intelligence verbo-linguistique, logico-mathématique, ou encore intrapersonnelle qui peuvent être plus au moins développées selon la personne. Cette définition du haut-potentiel provient de la synthèse des nombreux textes que j’ai lus sur le sujet, et vise avant tout à fournir quelques repères à une personne qui ne serait pas familière avec le terme ou le sujet. (Pour des références, voir par exemple les recherches de Danièle et de Doris Perrodin-Carlen, toutes deux ancrées en Suisse, ou encore celle de Sophie Brasseur et Catherine Cuche).

[3] Il est également utile de rappeler que des rapports de pouvoir peuvent s’exercer dans n’importe quel type d’interview – donc aussi avec des adultes –, et que le critère de l’âge n’est pas le seul déterminant. Les rapports de genre, de « race » ou de classe doivent également être pris en compte.

[4] On estime qu’à 5 ans, les enfants disposent d’un vocabulaire de 2000 mots environ. Le vocabulaire s’enrichit de 4’900 à 19’800 mots entre 7 et 14 ans, par exemple (Alice Descoeudres, Le développement de l’enfant de deux à sept ans, Neuchâtel : Editions Delachaux & Niestlé SA, 1957, p. 24.)

[5] La notion d’empathie intervient souvent, en ce qu’elle est directement liée aux émotions : « L’empathie est généralement considérée non pas comme une émotion en soi, mais comme étant étroitement liée aux émotions. » [Traduction de l’auteure] (Antje Glück, « WHAT MAKES A GOOD JOURNALIST ? Empathy as a central resource in journalistic work practice », Journalism Studies, n°17, 2016, p. 894.)

[6] « L’empathie semble être au cœur de la routine de travail des journalistes. Un·e journaliste sans empathie bien développée pourrait exceller dans des domaines plus analytiques tels que l’analyse boursière ou le journalisme de données, mais rencontrerait vraisemblablement des difficultés dans des scénarios plus « humains ». […] L’empathie ne peut être laissée de coté́ dans les interviews journalistiques sensibles où les personnes sont confrontées à des degrés divers de détresse. » [Traduction de l’auteure] (Antje Glück, 2016 pp. 894-895.)


Cet article est publié sous licence Creative Commons (CC BY-ND 4.0). Il peut être republié à condition que l’emplacement original (fr.ejo.ch) et les auteurs soient clairement mentionnés, mais le contenu ne peut pas être modifié.

Cet article est tiré du mémoire de fin de Master de Noemi Cinelli, ancienne étudiante à l’Académie du journalisme et des médias de l’Université de Neuchâtel.


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